Présentation

Aloha est né de la rencontre de la flûte amérindienne et de la voix au travers de compositions personnelles de musique du monde. Une musique du cœur au service de la joie, de la beauté, de l'amour et du renouveau. Aloha nous parle de ce retour essentiel à l'espace sacré du cœur et nous invite à vivre la beauté comme un chemin sacré vers soi … vers l'autre.

C’est en mer Rouge, au contact de ces êtres merveilleux que sont les dauphins, que sont nés l’inspiration et le concept de l’album Aloha.

En hawaïen, Aloha signifie "Bienvenue" mais aussi "affection, amour, compassion". Il s’agit avant tout d’un état d’esprit fondé sur le respect et l'attention sincère envers l’autre. Il exprime également un sentiment de plénitude et d’éveil qui passe par une reconnexion à Gaïa, Mère nature.

Cyrille et Aline nous livrent avec « Aloha — Beauty is a Way » leur premier album de musique du monde en LA 432 Hz.

Le choix du 432Hz et son importance

Le LA 432Hz, “son du cœur” ou “diapason solaire”, est connu depuis toujours pour être le plus proche de notre diapason interne. Il permet une diffusion optimale du message musical et permet d’obtenir un effet réellement bénéfique sur le corps et la conscience. Cela implique que le son soit restitué avec une qualité non altérée. D’où l'importance du CD physique et des concerts. Nous avons également utilisé pour l'enregistrement des technologies afin de neutraliser les champs électromagnétiques à l'enregistrement et obtenir plus de clarté sur certains sons et que cette fréquence soit incluse dans le CD pour un effet "bien-être" optimisé. Cyrille Campo aime à souligner par ailleurs : “J'aborde la composition et les enregistrements comme une prière, comme un acte sacré. Le véritable "miracle musical" se produit lorsque je suis "vide" c'est-à-dire libre de l'influence du mental. Alors, l'inspiration se produit et s'exprime dans la composition et dans le jeu musical.”

Les flûtes Natives Amérindiennes

Des modèles particuliers de flûtes accordées au diapason en LA 432 Hz ont été spécialement fabriqués pour cet album auprès du luthier américain Artem Repin